Le passé retrouvé
Préface
Les recherches de Pascale Lafargue ne laissent aucun doute sur la valeur des résultats obtenus, et demeurent à ce jour l’une des plus extraordinaires dans les annales de la parapsychologie.
A travers ses expériences, elle transmet ce qu’elle voit, en développant au grand étonnement d’abord, la surprise se dissipant ensuite, les résultats se confirmant par l’expérience continue, scrupuleusement contrôlée. Personnellement, j’ai eu le privilège de partager le fruit de ses longues, laborieuses et difficiles recherches. Ses expériences, sa gentillesse, sa bonté, nous amènent à travers le temps et l’espace.
Ce livre est avant tout un précieux recueil de renseignements, de descriptions d’expériences, avec toutes les circonstances et tous les détails observés et contrôlés, rédigés avec l’honnêteté qui la caractérise. Elle raconte ce qu’elle a « vu » et ce qu’elle a « fait » en accumulant les preuves qui corroborent ses récits.
A Pascale Lafargue, avec toute ma sympathie, et ma fidèle amitié.
Raymond Réant
Parapsychologue.
Le passé retrouvé
Contact avec les défunts, recherches sur les vies antérieures et recherches historiques.
Aux éditions F. SORLOT F. LANORE
« Avec simplicité et comme si cela était évident. Pascale Lafargue nous ouvre les portes de cet autre monde qui nous entoure et dont nous ne percevons que des bribes. Pour elle c’est facile, puisque ça lui « tombe dessus » tout naturellement, quand elle vous parle, entend une voix, prend une pierre dans sa main ou regarde une photographie.
Viennent jusqu’à elle des noms de famille, des prénoms, des lieux, des dates. Ses perceptions de clairaudience et de clairvoyance sont si précises qu’elle a pris l’habitude de tout vérifier : le couvent des Glycines à Honfleur a-t-il existé ? Y a-t-il une fontaine à l’endroit décrit ? Marie a-t-elle bien vécu à cette époque et qu’y a-t-il de vrai dans l’histoire qu’elle a vu se dérouler sous ses yeux, etc ? ….
Tout cela est incroyable : Pascale a été la première à en douter. Lorsque Pascale constate la présence d’un défunt à côté de vous, qu’elle donne son prénom, les circonstances de sa mort, décrit son visage puis vous transmet un message de cet être cher, la personne reconnaît alors en larmes, un père qui lui parle… Il arrive parfois à Pascale de recevoir des messages dans des langues étrangères qu’elle ne connaît pas.
Il y a un point ou douter ne peut plus vouloir dire nier. Pascale dit qu’avec de l’entraînement, tout le monde peut réellement augmenter ses perceptions. Elle va même jusqu’à enseigner son savoir pour mieux le rendre accessible à ceux que cela intéresse.
Mais il a fallu attendre quinze ans dont onze années de recherches et d’études pour que Pascale se décide à nous livrer une partie de ses expériences.
Percevoir parfois plus que les autres requiert une grande prudence et, quand on veut le transmettre, une vraie expérience de la nature humaine. »
Elizabeth Landwerlin,
Comédienne.